... on commence avec un seul pneu rempli de terre riche en
nutriment (mélange terre et compost) dans lequel on met une pomme de
terre. Lorsque le plant est sortie de terre et qu’il possède
plusieurs feuilles, on rajoute un autre pneu et de la terre par
dessus. On s’assure toutefois qu’une partie du plant reste toujours
sortie de terre.
le plant de pomme de terre fera des tubercules un peu partout sur la hauteur du plan enfouie dans la terre. On peut ainsi ajouter jusqu’à 5 pneus de haut. L’automne venu, lorsque la tige et les feuilles du plant sont sèches, on récolte les tubercules en retirant les pneus et en fouillant dans terre.
le plant de pomme de terre fera des tubercules un peu partout sur la hauteur du plan enfouie dans la terre. On peut ainsi ajouter jusqu’à 5 pneus de haut. L’automne venu, lorsque la tige et les feuilles du plant sont sèches, on récolte les tubercules en retirant les pneus et en fouillant dans terre.
source : vegeculture
j'avais récupéré au moins huit pneus prévus à cet effet, non pas que
je manque de place pour cultiver mais la méthode me parait d'un
excellent ration travail de fainéant/récolte ...
donc, les pneus sont "en scène" depuis l'automne dernier et se remplissent de déchets à composter mais ... l'esthétique est loin d'être satisfaisante et surtout cette et remarque lu sur radin.com : le principe est très bon, mais attention au ruissellement de produits chimiques dégoutants à partir des pneus (c'est pour ça qu'ils doivent être traités dans des centres spécialisés) ! Surtout si près des pommes de terres, l'eau ruisselle forcément dessus à +
eureka
de vieilles ruches ... des hausses en bois
reste à savoir si les patates aiment le miel ?
